La terreur se répend

Où l'amour s'oublie.

Obnubilé par le profit

Plus personne ne fait face,

Les regards se baissent.

Parmi eux plus de don

La moindre énergie se vend.

En une seule entité

Ils se confient entièrement,

Elle leur offre sécurité

Pain et divertissement.

Mais quiconque l'irriterait

Elle le pend.

Celle-ci ne connait

Et ne connaitra point le Pardon

Il vaut mieux

Ne rien attendre

Car Tout est déjà là.

Le seul regard

Améliore ou dénigre

L'instant que le ciel nous donne.

Les peines et les souffrances

Déstabilisent

Et poussent

A détester cette offrande.

Mais qui garde en tête la pensée sublime

Vacillera qu'une seconde

Puis aussitôt retrouvera

L'Eternel Equilibre.

La jalousie croyait

Masquer

La Victoire et Le Don de Dieu,

Mais la Gloire du Tout Puissant

S'élève sans que nul 

Ne puisse l'arrêter.

Permanente est l'harmonie

Qu'apparence les voix dissonantes.

Dans les souffrances et les ténèbres

Tombent ceux qui ne rentrent dans la danse.

Chacun a dans les mains

Ce qui lui est dû.

Le partage est complet

La Création est parfaite.

Tout est uniquement existant par Sa Réflexion.

Les ténèbres se maintiennent

Tant que la Lumière

Ne les a pas pénétré.

Au combien grande

Est l'Eternel Perfection.

L'homme, dans son éphémère

Oublie qu'il en est création

Créature

Et que son devenir est l'atteindre.

Le Feu brûle sans s'amoindrir

Brûleront les ingrats

Qui avec la matière pensaient l'éteindre.

La souplesse ouvre la voie

Par l'endurance l'essence ne s'épuise.

L'esprit ne sent que

Le pain du lendemain.

L'Union est

Qu'après l'ascension post chute